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08/11/2008

La FNAC, un samedi de novembre.

Mon unité centrale est tombée en rade hier. Malgré tous mes efforts, et ceux de mon beau-frère, je me suis résolu à en acheter une autre.

Bon, je ne me suis pas non plus fait trop tirer l’oreille pour remplacer un matériel un peu vieillissant !

Comme tous les membres de ma famille, ma devise est « tout, tout de suite », je me suis donc précipité à la FNAC.

J’ai fait plusieurs tours en voiture pour trouver une place dans un parking débordant.

La FNAC débordait, elle aussi, avec des files d’attente déprimantes devant les caisses.

Une certaine tension d’exaspération flottait dans l’air.

J’arrive au milieu du secteur micro-informatique. J’ai déjà repéré ce que je veux, et bien entendu, lorsque je remonte le long du rayon, un couple d’une quarantaine d’années me barre la route, en grande conversation avec un vendeur.

Ils semblent hésiter entre deux modèles, et reprennent point par point tout en les soupesant, toutes leurs différences.

Je fais un tour dans le magasin et reviens : encore là.

Nouveau tour, toujours là.

L’avantage, quand on est dans une FNAC, c’est qu’il y a des bouquins partout. Je feuillette Gomora de Roberto Saviano, et le prends. J’ai bien aimé son écriture nerveuse, précise et surtout ses phrases de un mot.

Dix sept pages plus tard, ils sont donc inamovibles !

Par contre, le vendeur a changé, l’autre a passé la main, de fatigue.

Finalement, je croise un autre vendeur miraculeusement inoccupé dans cette cohue.

En 3 minutes, l’affaire est conclue et je me dirige vers les caisses.

Les files ont fondu, et je me retrouve troisième à une caisse. Miracle.

La file d’à côté est encore plus courte, je m’y glisse, second. Opportunisme.

D’un seul coup, un nouvel afflux de gens vient butter contre les caisses, j’ai finalement eu beaucoup de chance.

J’aperçois alors la dame de devant qui sort un papier chiffonné et demande au caissier des cartes prépayées à offrir.

Je suis inquiet, et à raison.

Elle veut plusieurs cartes, mais les sommes qu’elle veut y créditer excèdent le montant maximum de 150€. Elle veut payer par chèque et en liquide et puis il y a une histoire de société et de facture. Au bout d’un certain temps, le caissier demande à la file qui s’accumule d’aller vers d’autres caisses, car « sa caisse va être bloquée longtemps ».

La dame qui était derrière moi à la première caisse a quitté le magasin depuis bien longtemps. Elle est même peut-être arrivée à sa voiture…

03/11/2008

Elections 2008.

Encore un excellent dessin de Martin Vidberg.

 

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Personnellement, je me fiche de plus en plus de savoir qui va être le prochain président de la Terre.

Je suis en surdosage aigu de ces élections.

Vivement qu’ils en finissent !

02/11/2008

Attention aux toilettes britanniques !

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Je sais que cet avertissement est tout à fait général, mais ici l'histoire est une mésaventure bien désagréable, survenue à un homme de 35 ans qui s’était innocemment assis sur des toilettes publiques en acier dans les West Midlands.

Des petits plaisantins avaient piégé le siège avec de la colle « super-glue ».

N’arrivant pas à se relever, il a appelé les services d’urgence qui ont été obligés de l’emmener à l’hôpital avec les toilettes collées aux fesses.

Finalement, là, un traitement chimique a permis de le décoller.

Source : BBC