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06/03/2008
Amours.
En flirtant avec quelques couvertures dans une librairie, j’ai touché du doigt « Amours » de Jacques Attali.
Et oui, « le » Jacques Attali que nous connaissons tous.
Il nous parle de l’évolution de l’amour depuis l’origine de la vie.
Cet obscur objet du désir m’a aussi attiré par ses nombreuses et belles illustrations exemptes de vulgarité, son papier sensuel et sa composition moderne.
J’avoue que j’ai surtout été rendu curieux par le fruit de la rencontre de cet auteur, « économiste, écrivain et haut fonctionnaire », comme le précise Wikipedia et qui me semble tout de même assez austère et ce sujet qui peut conduire à tous les épanchements que l’on peut imaginer.
Nous n’en sommes qu’aux préliminaires pour l’instant.
Je vous raconterai l’acmé.
Mais soyez patients, je sais prendre mon temps…
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Amours
Jacques Attali en collaboration avec Stéphanie Bonvicini
Editions Fayard
10:14 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (7)
Commentaires
Je sais pas pourquoi, mais la photo de couverture me gêne.
Si, en fait, je sais pourquoi.
Écrit par : anita | 06/03/2008
Pourquoi elle te gêne ?
Écrit par : Niluje | 06/03/2008
>Anita: pareil que Niluje: pourquoi elle te gêne?
Écrit par : lawrence | 06/03/2008
Parce que pour illustrer un propos sur ce qui se passe ENTRE hommes et femmes, il n'y a qu'une femme. Multipliée.
De plus, c'est une femme qui attend, une image de harem. Qui entre?
Écrit par : anita | 06/03/2008
>Anita: l'image n'est pas une image de harem. Il s'agit d'une future épousée indienne au cours de la "cérémonie du safran".
Pour l'instant (2-3 premiers chapitres), le texte évoque surtout les structures sociales des premières civilisations qui sont basées sur le matriarcat. Dans certains endroits du Monde, ce sont encore les femmes qui dominent la communauté.
Je ne pense pas que le choix de la couverture puisse être interprété autrement que sur un plan esthétique.
Mais bon, qui sait, je ne l'ai pas encore terminé...
Écrit par : lawrence | 06/03/2008
Oui, j'aurais dû dire Zenana au lieu de harem!
Mais le propre des interprétations, c'est de ne pas porter sur ce qui est délibéré, mais justement sur ce qui échappe. Je cherchais pourquoi je tiquais devant la couverture, et clairement, la trace que laisse cette photo sur mon imaginaire, c'est celle de l'attente et de l'absence d'homme... Du coup, ce qui constitue un argument de vente-une couverture de livre-manque chez moi complètement sa cible.
Mais ça ne dit rien de plus que ça :-)
Écrit par : anita | 06/03/2008
Ce qui m'a le pluss frappé, pour ma part, c'est la taille de la police utilisée pour le nom de l'auteur, et celle utilisée pour le titre de l'ouvrage...
L'impression que l'auteur domine sur le titre...
Mais bon...
Après qqs recherches de couvertures d'oeuvre, il s'avère que c'est plus fréquent que ce que j'imaginais...
Écrit par : Ptysie | 06/03/2008
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