01/05/2005
C'est très bas...
Images impressionnantes (deux points de vue du même atterrissage), empruntées à airliners.net
Leur album photos vaut, lui aussi le détour.
09:20 Publié dans Web | Lien permanent | Commentaires (2)
09/04/2005
Vous avez dit passionné?
Vous avez dit passionnés?
J’ai trouvé cette page en surfant par hasard.
En gros, l’auteur de ce petit article scientifique (ne manque que le « p ») compare la précision du fusil laser des soldats de l’Empire, et celui des Rebelles.
Il a visualisé les films, et a compté les tirs, et les coups au but.
Vous l’aurez compris, nous sommes dans l’univers de « Star Wars ».
Comme disait Desproges, « Etonnant, non ? »
20:10 Publié dans Web | Lien permanent | Commentaires (0)
25/03/2005
SMS
Un site propose un traducteur automatique français/SMS (lien trouvé sur Telerama).
J'ai essayé de rendre Baudelaire un peu plus accessible pour la jeune génération
La Nature é 1 templ ou 2 vivan piliers
Laissent parfoua s0rtir 2 konfuzes par0les;
L’ho y pace à través des f0ré d symb0les
qui l’0bserv av des regar familié.
kom d long éch0s qi 2 loin s konfonden
t ds 1 ténébreuze é pr0fonde unité,
Vaste comm la n8t è kome la clarté,
Les parfums, les couleur & les son c répond.
Il e dè parfums frè kom dè chairs d’enfan,
Doux kom lè h0tbois, verts kom lé prairies,
_ ê d’autr, kor0mpu, riche é tri0mfants,
Ayan l’expansion dé choz 1finies,
kome l’ambr, l musc, l benjoin é l’ensens,
qui chan lè transp0rts d l'esprit i des sens.
B0delaire, lè fleur du mal IV
La Nature est un temple où de vivants piliers
Laissent parfois sortir de confuses paroles;
L’homme y passe à travers des forêts de symboles
Qui l’observent avec des regards familiers.
Comme de longs échos qui de loin se confondent
Dans une ténébreuse et profonde unité,
Vaste comme la nuit et comme la clarté,
Les parfums, les couleurs et les sons se répondent.
Il est des parfums frais comme des chairs d’enfants,
Doux comme les hautbois, verts comme les prairies,
— Et d’autres, corrompus, riches et triomphants,
Ayant l’expansion des choses infinies,
Comme l’ambre, le musc, le benjoin et l’encens,
Qui chantent les transports de l’esprit et des sens.
Baudelaire, Les fleurs du mal IV
Etonnant, non?
07:23 Publié dans Web | Lien permanent | Commentaires (3)