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27/03/2005
Astérix
Le Devin. Uderzo.
Planche 10, page 10. 1972
Mon père m’a offert mon premier Astérix avant que je sache lire (Astérix en Hispanie).
Depuis, je ne suis jamais arrivé à lire une autre BD.
Pourquoi ?
Parce que, enfant, en lisant les aventures du Gaulois, je me suis plusieurs fois pissé dessus de rire.
Adulte, je ne me pisse plus dessus, mais je ris toujours, et je découvre des allusions cachées qui me ravissent.
Vieillard, je me pisserai à nouveau dessus, et je rirai toujours de bon coeur.
La valeur d’une œuvre, quelle qu’elle soit, est la multiplicité des lectures que l’on peut en faire, à 3 ans, à 30 ans, et au-delà, que l’on soit médecin, ou maçon, européen ou asiatique.
Astérix me fascine depuis toujours, et ce n’est pas prés de s’arrêter.
La leçon d'anatomie du Professeur Nicolaes Tulp. Rembrandt 1632
169,5 x 216,5 cm
Mauritshuis, The Hague
Excellent site sur Astérix
08:50 Publié dans Loisirs | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
Amusant le rapprochement avec Rembrandt... Je ne l'ai pas lu celui-là, faut que je me rattrappe !
Écrit par : gazelle | 27/03/2005
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