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11/04/2006

Des sous, des sous.

Une de mes passions occultes est de boursicoter.

  

Oh, pas des sommes gigantesques, et pas d’actions.

J’ai laissé pas mal de plumes avec la crise de 2001 (Ahhh, les calamiteuses actions Wanadoo, maintenant défuntes !).

   

J’ai ouvert un PEA et plusieurs assurances-vie depuis 4-5 ans, moyen élégant et légal d’échapper en partie à la rapacité du fisc.

Par ailleurs, si je venais à trépasser avant le 17 juin, l’assurance vie est aussi l’un des rares moyens de transmettre un capital sans trop de frais de succession à un conjoint/conjointe hors mariage.

 

Donc je me suis rabattu sur des SICAV. Ces paniers d’actions (ou d’obligations) dont on achète une part sont un bon moyen pour un non professionnel de diversifier son placement, et ainsi de limiter la casse en cas d’aléa boursier. Ce n’est pas non plus miraculeux bien sûr, un Krach comme 2001 peut survenir à nouveau, et fatalement, tout baissera.

 

Chaque établissement financier propose un panel de SICAV. Comment choisir ?

Là est la question que je n’ai pas encore bien résolue.

J’ai plutôt pris l’option de prendre des risques, et de favoriser la performance, mais toutes les options sont possibles. Certains établissements proposent des « filets de protection » qui garantissent de ne pas perdre tout ou une partie du capital initial, en cas de crise. On pire, on ne perd rien.

 

Quel établissement choisir ?

Pas besoin d’aller ouvrir un PEA chez « Linderhof-Herrenchiemsee and Neuschwanstein » pour avoir de bons produits (ne cherchez pas cette banque sur Google, ce sont 3 châteaux de Louis II de Bavière). Outre que ce type d’établissement très élitiste demandera un placement initial très important, on n’est jamais bien sûr de leur solidité.

 

Depuis ma majorité, j’ai un compte-titres à la Poste, devenu la bien pompeuse « Banque Postale ».

Si, si, la même poste que celle du demi-guichet ouvert de Dany Boon.

Au-delà des guichets souvent calamiteux se terrent des conseillers financiers.

Premier conseil, ne vous attachez pas à une personne, ils changent très fréquemment. Depuis 8 ans, j’en ai déjà vu passer 3 ou 4 (il y en a une que je n'ai vu qu'une fois, entre deux arrêts maladie...). Deuxième conseil, allez-y en ayant lu la page « Epargne et placements » de leur site web. Les explications financières et fiscales sont claires et précises.

En général, on peut ouvrir un PEA ou une assurance avec 75 euros. Les frais sont peu importants (genre 2% à l’entrée et 1.2% par an). La fiscalité est ce qu"elle est, mais on n'y peut rien...

 

 

Choisissez une ou plusieurs SICAV, ou une optique de placement (il y a par exemple des SICAV « éthiques » (uniquement des entreprises « éthiques », voire « humanitaires » (une partie des bénéfices est reversée à des ONG)), et hop, direction une Poste.

C’est ce que je fais maintenant, je téléphone, et quand j’arrive, les papiers sont prêts.

Le conseiller vous reçoit dans son petit bureau, pas besoin de faire la queue (un exploit dans une poste).

  

Un exemple.

J’ai acheté une SICAV nommée « Primiel Euro » en août dernier.

Au jour d’aujourd’hui, elle a pris 31.63%. Pas trop mal en 8 mois et demi.

 

Petits capitalistes en herbe, just do it !

 

Commentaires

Sympa un post sur les Sicav mais avec mon bulletin de salaires reçu ce jour par la Poste, je ne crois pas investir actuellement avec mes 3,5 € de l'heure (heureusement que je fais 66 H par semaine officiellement) !

Écrit par : Esculape | 13/04/2006

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