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21/11/2006
La tentation du pire.
Encore un article qui fait froid dans le dos, publié dans le « New-Yorker » et repéré dans « Le Monde ». L’administration Bush et notamment Dick Cheney envisageraient d’attaquer l’Iran, nonobstant la victoire démocrate.
Le mastodonte, englué dans les sables mouvants se débat pour en sortir, et finalement ne fait que s’y enfoncer plus encore. Le but serait de tarir l'aide iranienne aux insurgés irakiens, et de montrer que les EU sont capables d'atteindre leurs objectifs :“the goal in Iran is not regime change but a strike that will send a signal that America still can accomplish its goals”.
D'après l'article, ils referaient le coup des AMD irakiens en justifiant leur attaque par l'existence d'un programme nucléaire iranien. La CIA est dubitative quand à l'avancement d'un tel programme mais ses conclusions sont balayées par l'exécutif pour des raisons éminemment politiques: “They’re looking for the degree of comfort level they think they need to accomplish the mission.”.
Le problème est que les inconséquences du géant américain sont mondiales… Je n’ai pas tout lu, mon anglais déjà médiocre sombre après une nuit presque blanche . La patiente (cf note précédente) est particulièrement moyenne et le sus décalage ST est tellement étendu qu’il n’y a même plus de place pour un miroir…
07:05 Publié dans Actualités | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
à défaut d'esprit et de talent si ce n'est celui du faix grec, voici deux emprunts "avec" intérêts dont le taux gage ma dermato et mon examen de con-science. Le premier, un classique de Pascal: "Ne pouvant faire que ce qui est juste fût fort, on a fait que ce qui est fort fût juste". Le second une citation facile jamais démentie par l'ondulation d'un ECG: "l'avenir est un miroir sans glace"....
heureux de vous savoir sur terre...
Écrit par : Kropotkine | 21/11/2006
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