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16/02/2008

Le seigneur de Bombay.

Vous ne risquez pas de passer à côté des piles de cet énorme roman (1037 pages) à la couverture dorée brillante criarde, très en phase avec le style bling-bling ambiant.

Je l’ai pris en mains plusieurs fois avant de le reposer, écœuré par tant de vulgarité.

Puis finalement, je l’ai ramené à la maison, n’arrivant plus à progresser dans « La tache » de Philip Roth.

En ce moment, il me faut de la lecture facile, ne demandant pas de réflexion excessive.

J’en suis à la page 229.

Ce roman policier de facture très classique (le flic intègre, divorcé qui se lance dans une enquête qui le dépasse, accompagné par son fidèle adjoint…) est néanmoins relevé par une excellente sauce curry, puisque l’action se passe de nos jours dans la ville grouillante de Mumbay (l’ancienne Bombay).

Le récit est vif et entraînant, entrecoupé de scènes un peu plus calmes, qui ne dépareillent pourtant pas l’évolution de l’histoire.

De nombreux termes locaux, heureusement traduits dans un petit lexique à la fin du livre émaillent le texte, et vous permettront de vous faire un utile fond lexical "so Guide Bleu" en argot de Mumbay.

En voici quelques exemples et un petit jeu pour agrémenter la soirée, les deux colonnes sont mélangées, à vous de retrouver les bons binômes :

 

 

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Le Seigneur de Bombay

Vikram Chandra

Editions Robert Laffont

20:10 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0)

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