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27/09/2008

Elever le niveau.

Je profite de ma période « introspection sur mon blog », qui j’espère sera courte, pour vous reparler d’une idée qui m’est chère.

J’avais émis l’idée, il y a quelques notes d’ouvrir Grange Blanche à des rédacteurs invités.

Pour l’instant, je l’ai fait un peu au gré des rencontres, et la superbe analyse de l’étude ADVANCE faite par Jean-Paul ou la mise au point du Dr Patrick Antoine sur l’association Interplast m’ont paru être des précédents très prometteurs.

Je suis en contact avec un autre rédacteur invité, un thésard en mathématiques, expatrié dans une université de l’Etat du « Magicien d’Oz ». Grange Blanche devrait donc pouvoir accueillir en janvier un texte sur les relations entre les mathématiques et la médecine qui devrait largement dépasser le « simple » domaine des biostatistiques (je ne te mets pas la pression, einh ?).

Si vous avez un domaine d’intérêt, quel qu’il soit, et si vous entrevoyez des possibilités d’interaction avec le domaine médical, ou si vous voulez parler du système de santé dans votre pays, ou au temps de l’Amérique précolombienne ou que sais-je encore, et que vous voulez écrire et publier ici même un article, n’hésitez pas à me contacter.

 

L’idée est simple : ouvrir l’horizon de ce blog afin d’en élever le niveau.

Je préfère prendre cette option de qualité par rapport à celle de la quantité, même si, comme l'a tristement constaté Matthieu dans Cecidit, ce n'est pas la voie la plus "payante".

09:15 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (1)

20/09/2008

A l’international.

Cette après midi, après la redécouverte de cousins québécois, je me suis demandé quelles nationalités venaient me rendre visite sur Grange Blanche.

J’ai donc jeté un coup d’œil aux statistiques de Woopra.

 

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Pas de grosse surprise, à part peut-être 3 pays peu francophones (Allemagne, EU et Norvège) dans les 10 premiers, mais où il doit y avoir des expatriés (aux EU, j’en connais un depuis ce matin !).

Sinon, bien sûr, une écrasante majorité de connexions issues de France métropolitaine (RE, c'est La Réunion).

 

J’ai réinstallé Woopra depuis le 12 septembre, après l’avoir désinstallé.

Je ne le regrette pas.

La possibilité de pouvoir engager une conversation avec un lecteur est réellement étonnante.

Aujourd’hui, j’ai donc discuté avec un expatrié français au Kansas, et il y a peu avec un des auteurs de « Sous le sarrau ».

 

Bon, seul défaut, mais majeur, Woopra n’incite pas à décoller de l’écran !

 

18:44 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (12)

26/08/2008

Copinage et quelques réflexions.

 

Je voulais vous signaler cet article récent, « Décryptez les logos de la Toile ! » de Philippe Eveillard, publié le 03/06/08 dans la « Revue du praticien médecin générale », mis à jour le 23/08/08 et disponible gratuitement sur NePHROHUS.

Cette évolution, du payant-papier au gratuit-en ligne n’est pas sans m’évoquer cette présentation, du même auteur.

 

J’ai lu cet article en ligne arrive exactement au moment où je me suis intéressé à la syndication et au partage, c'est-à-dire ce dimanche.

Certains ont pu le remarquer, j’ai rajouté en haut de la colonne de gauche deux boutons permettant l’utilisation de sites de partage et de syndication tels que Delicious, Netvibes, Digg, Bloglines…

 

La seconde partie de l’article concerne « Creative Commons ».

 

Photobucket

 

 

Vous trouverez aussi ce logo dans ma colonne de gauche. Philippe Eveillard constate que je suis le seul à l’utiliser dans la blogsphère médicale française.

Je n’en tire aucune fierté, d’autant plus que l’adhésion à ce contrat n’en est pas une.

« Creative Commons » ne réaffirme pas une « propriété intellectuelle » qui va de soi, mais précise simplement quelles sont les conditions selon lesquelles j’autorise l’utilisation des textes publiés dans ce blog.

 

Je rappelle ces conditions :

 

« Vous êtes libres de reproduire, distribuer et communiquer cette création au public.

 

Selon les conditions suivantes :

 

Paternité. Vous devez citer le nom de l'auteur original de la manière indiquée par l'auteur de l'oeuvre ou le titulaire des droits qui vous confère cette autorisation (mais pas d'une manière qui suggérerait qu'ils vous soutiennent ou approuvent votre utilisation de l'oeuvre).

 

Pas d'Utilisation Commerciale. Vous n'avez pas le droit d'utiliser cette création à des fins commerciales.

 

Pas de Modification. Vous n'avez pas le droit de modifier, de transformer ou d'adapter cette création. »

 

 

 

 

Je pensais que c’était assez clair, et que « Creative Commons » était assez répandu pour que tout le monde comprenne cette philosophie.

 

Mais l’article de NePHROHUS et une petite histoire qui m’est arrivée ce dimanche, décidemment chargé, m’ont fait comprendre qu’il n’en était rien.

 

J’ai remarqué qu’un lien menant sur une de mes notes provenait de la page d’un catalogue de vente de livres par correspondance.

Les auteurs de cette page ont « agrégé » les notes de plusieurs blogueurs (médicaux,, en l'occurence puisque l'agrégation est contextuelle avec les bouquins mis en vente) dont une des miennes.

 

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Copie d'écran du site le 24/08/08.

 

Aucune attribution de paternité, une utilisation commerciale, puisque adossée à un catalogue de vente par correspondance, et cerise sur le gâteau, une modification de la note initiale ("obsessionnels-inquiets" devenus "obsess").

 

J’ai donc écrit à l’administrateur qui a promis de retirer mon blog de ce flux, et m’a précisé que cette page était une page de test.

 

Peut-être que je pinaille beaucoup. En fait, je ne sais pas trop. Mais cette utilisation me gène, contrairement à celle qu'en fait par exemple Opimed et son agrégateur "Sedna" qui utilise aussi une partie de mes notes.

Cette histoire m’a fait toucher du doigt l’importance de préciser, et repréciser en cas de mauvaise compréhension mes conditions d’utilisation de mes notes (je n’utilise pas le terme «d’œuvre » que je trouve très prétentieux).

Malheureusement, il faut bien le dire, les créateurs de contenu sur le net sont une cause majeure de ce manque de considération pour le travail d’autrui.

J’en fais partie, car j’utilise souvent des œuvres sans demander d’autorisation aux auteurs, quoique j’en attribue toujours la paternité. J’essaye tout de même autant que possible de piocher dans les œuvres libres de droits, notamment dans Wikipédia.

Est-ce que le fait que je n’utilise pas ces œuvres dans un but commercial (« Grange Blanche » ne me coûte rien, et ne me rapporte rien) suffit à me dédouaner de toutes les contraintes de l’utilisation de la propriété intellectuelle d’autrui ?

Je ne le pense pas, et cette histoire d’agrégateur m’a fait réfléchir.

 

N'hésitez pas à commenter et préciser.

 

 

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Modification du 26/08/08, 10h30: petite remarque pour Philippe Eveillard, si il passe par ici,  je viens de me rendre compte qu'Opimed est aussi écrit sous licence CC.

 

09:28 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (5)