« lun. 24 déc. - dim. 30 déc. | Page d'accueil
| lun. 07 janv. - dim. 13 janv. »
03/01/2008
Question.
Quel est le point commun entre cette grille de Hermann et A…, la grande librairie située à deux pas de l’Hôpital ?
Et bien, malgré sa grande taille et ses milliers de livres, je n’arrive jamais à trouver le livre que je suis venu chercher. De même, essayez donc de vous focaliser sur un point noir à chaque intersection.
Il faut donc que j'y aille sans idée préconçue. Un peu comme il faut regarder cette grille globalement pour pouvoir voir les points noirs.
J’ai cherché hier des livres de Philip Roth et sur les dizaines qu’il a écrits, je n’en ai trouvé que deux (et encore, difficilement) :
« La tache » et « Un homme ».
Je suis sûr qu'à la FNAC, je pourrais trouver "tout Roth", mais elle est plus loin et je ne suis pas objectif.
09:15 Publié dans ma vie quotidienne | Lien permanent | Commentaires (3)
Journée rouge.
Hier, je devais initier une lycéenne à quelques mois de son Bac, fille d’amis d’une amie de Sally, à la cardiologie.
Avant-hier, j’avais dit à Sally « J’espère qu’elle n’est pas trop vilaine, je vais me balader à l'Hôpital toute la journée avec elle! ».
Je tiens quand même un peu à ma réputation !
Hier matin, l’aide soignante m’indique que l'on désire me voir. Son père l’accompagne.
Cette jeune fille est charmante, et divine surprise, cerise sur le gâteau, nirvana absolu, rousse flamboyante.
Toute la journée je me suis répété le mantra suivant :
« marié, père militaire, correctionnelle, marié, père militaire, correctionnelle, marié, père militaire, correctionnelle, marié, père militaire, correctionnelle, marié, père militaire, correctionnelle, marié, père militaire, correctionnelle… ».
Mis à part cela, elle m’a quand même fichu un terrible coup de vieux.
J’ai presque deux fois son âge (35 ans/17 ans) et elle n’a jamais entendu parler des quelques références télévisuelles ou cinématographiques que j’ai évoquées…
Je ressens maintenant ce que ma mère pouvait ressentir quand j’ouvrais de grands yeux vides d’expression quand elle me parlait avec émotion de Zébulon et du « manège enchanté ».
"Il suffirait de presque rien" me vient aux lèvres.
A la fin de m’a journée, elle m’a remercié.
Je lui ai dit que je prendrais de ses nouvelles via l’amie de Sally.
« Pas besoin, j’ai votre numéro de portable ! »
Une rousse, une vraie.
08:15 Publié dans ma vie quotidienne | Lien permanent | Commentaires (10)
01/01/2008
Danza ritual del fuego
10:45 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (3)