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02/12/2007
La nouvelle gamme de produits…
Une campagne publicitaire que je trouve très fine, en tout cas bien plus que les porte-clés, les graines de mil, ou les sachets de réhydratation que l’UNICEF nous envoie régulièrement à la maison, probablement à grands frais…
Trouvée via BLONG.
10:30 Publié dans Web | Lien permanent | Commentaires (0)
01/12/2007
AIDES.
Grâce à Daneel Ariantho (que l'on aperçoit au second plan sur la première photo), j’ai assisté à l’inauguration officielle du local de AIDES dans SL en cette journée mondiale de lutte contre le SIDA.
L’équipe virtuelle de AIDES comporte à ce jour 8 volontaires et accueille déjà une dizaine de visites par jour.
Cela peut paraître dérisoire, mais pour ce type de prévention l’individualité prend le pas sur le nombre. Chaque transmission évitée, que ce soit pour le virus du SIDA, des hépatites, ou les autres IST non virales est une victoire en soi.
Par ailleurs, comme notre hôtesse Clesther Smit l’a répété plusieurs fois, SL permet un contact parfaitement anonyme et moins « impressionnant » que dans la vraie vie où il faut avoir le courage de pousser la porte d’une antenne de AIDES.
Une excellente initiative, donc.
Après, j’ai assisté à la première partie de la soirée festive au Trianon de Pandore : un superbe récital de violon en direct.
23:25 Publié dans Médecine | Lien permanent | Commentaires (0)
Fantôme.
Internet est vraiment un univers inattendu, on y trouve même des fantômes.
Je naviguais sans réel but quand je suis tombé sur le site d’un élève de mon ancien lycée.
Cet élève qui est bien postérieur à mon époque a mis en ligne quelques photos de profs.
Je suis presque tombé de mon siège en revoyant mon prof d’histoire sur un cliché daté de 2002, un enseignant qui a marqué tous ceux qui ont eu la chance de faire partie de sa classe. Un type brillant, drôle, sensible, volontiers iconoclaste. Ce lycée était privé et dirigé par un Père. Vous imaginez donc que la moindre parcelle de liberté et de fantaisie prenait à nos yeux un éclat incomparable. Ses heures de cours étaient un délice.
Par ailleurs, il était malade, très malade, ce qui entretenait encore l’épaisseur de la nuée mystérieuse qui l’entourait.
En fait il était dialysé chronique, mais pour nous, adolescents, ce terme n’évoquait rien de bien précis.
Je ne l’ai pas reconnu d’emblée car il avait pris 12 ans.
Mais ce qui m’a le plus marqué c’est qu’un ancien condisciple m’avait confirmé son décès il y a quelques années (2003-2005, il ne savait plus trop).
Une photo d’outre tombe.
Paix à ton âme, Gabriel.
22:51 Publié dans Mon passé | Lien permanent | Commentaires (1)