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30/06/2008
Tertullien
Je sais que la devinette suivante est presque un lieu commun, car je l’ai déjà vue plusieurs fois sur la toile, mais de quelle époque date le texte suivant?
…
« Assurément il suffit de jeter les yeux sur l'univers pour reconnaître qu'il devient de jour en jour plus riche et plus peuplé qu'autrefois. Tout est frayé; tout est connu; tout s'ouvre au commerce. De riantes métairies ont effacé les déserts les plus fameux; les champs ont dompté les forêts; les troupeaux ont mis en fuite les animaux sauvages; les sables sont ensemencés; l'arbre croît sur les pierres; les marais sont desséchés; il s'élève plus de villes aujourd'hui qu'autrefois de masures. Les îles ont cessé d'être un lieu d'horreur; les rochers n'ont plus rien qui épouvante; partout des maisons, partout un peuple, partout une république, partout la vie. Comme témoignage décisif de l'accroissement du genre humain, nous sommes un fardeau pour le monde; à peine si les éléments nous suffisent; les nécessités deviennent plus pressantes; cette plainte est dans toutes les bouches: la nature va nous manquer. Il est bien vrai que les pestes, les famines, les guerres, les gouffres qui ensevelissent les cités, doivent être regardés comme un remède, espèce de tonte pour les accroissements du genre humain. »
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Tertullien. De l’âme XXX. Traduction : E.-A. de Genoude
Etonnant, non ?
Je ne suis pas en train de virer catho, et je ne vais même pas vous faire croire que je connaissais cet auteur avant de lire avant-hier l'article de Wikipedia.
Mais j’ai trouvé une citation de ce passage assez prémonitoire dans le livre de Peter Beard, « La fin d’un monde ».
L’auteur l’utilise pour amplifier sa critique sur la gestion des éléphants en Afrique de l’Est, pachydermes tellement protégés et si peu respectueux de leur environnement, qu’ils finissent par mourir de faim à cause de leur surpopulation et de la disparition de leurs ressources naturelles. En surfant un peu, j’ai trouvé ce texte dans des débats entre ceux qui pensent que la surpopulation va finir par asphyxier la Terre, et les autres qui pensent que non. L’éléphant, une métaphore pour l’espèce humaine ?
Curieusement, ce texte vénérable sert argument pour les deux camps.
22:26 Publié dans Jeux | Lien permanent | Commentaires (3)
29/06/2008
Devinette.
19:49 Publié dans Divers et variés | Lien permanent | Commentaires (5)
Fin de partie.
En 2001, dans la petite boutique de souvenirs d’Elsamere, l’ancienne résidence de Joy et George Adamson située au bord du lac Naivasha, j’achète un bouquin « The End of the Game ».
Elsamere, au bord du lac Naivasha (L. Passmore).
L’auteur est un photographe, Peter Beard.
Les photographies sont poignantes, mais le texte, en anglais, souvent manuscrit et ponctué de mots swahilis et d’expressions de chasse m’est en grande partie imperméable.
Samedi matin, en maraudant dans une librairie, je tombe sur une traduction, publiée par Taschen cette année, celle des 60 ans de l’auteur.
Une chasse à Nakuru. Le phacochère au second plan va échapper aux trois jeunes lions (L. Passmore).
Un éléphant solitaire à Amboseli, au pied du Kilimandjaro (L. Passmore)
Sept ans après, cette traduction est un nouveau choc.
Peter Beard y fait revivre les glorieuses épopées de l’exploration du Mont Kenya, et de la construction de l’Uganda Railway durant laquelle deux lions vont dévorer une centaine de coolies indiens dans la région du Tsavo, avant finalement d’être abattus par l’ingénieur en chef John Henry Patterson.
Il évoque la mémoire de Karen Blixen, et de quelques grands chasseurs dont les tableaux de chasse pourtant impressionnants (996 rhinos pour l’un d’eux en 26 mois) ne sont rien en regard de la tragédie que va vivre l’Afrique ensuite.
Bogani House, la maison de Karen Blixen (L. Passmore)
Copyright Taschen et Peter Beard.
Car finalement, ce livre pointe un doigt accusateur sur les vrais coupables qui font que l’Afrique de l’est des animaux, mais aussi des hommes se meurt.
Le train, les chasseurs, les explorateurs, et dans une moindre mesure Karen Blixen vont ouvrir ce continent par essence inhumain à la colonisation des hommes blancs qui vont dérégler en 100-150 ans un mécanisme d’autant plus immense qu’il est fragile.
En effet, de part ses dimensions cette terre sauvage n’impose aucune retenue dans son exploitation.
La grande chasse « artisanale » est devenue une véritable industrie. Industrie, non seulement pour les peaux et l’ivoire, mais aussi dans le but de repousser sans cesse le domaine des animaux sauvages devant l’avancée des domaines agricoles et des villes.
Alors, devant la disparition de la faune sauvage, des idéalistes ont prôné la création de réserves naturelles protégées, comme celle du Tsavo, ou d’Amboseli, par exemple.
Toute chasse, même celle millénaire des tribus y a été interdite.
Des peuples, comme les Waliangulus y ont perdu leur identité, et ont sombré dans l’alcool, parqués eux aussi dans des réverves.
Deux jeunes filles samburus (L. Passmore).
Les samburus, comme les Masaïs se nourissent de lait et de sang de leur bétail.Ils ponctionnent la veine jugulaire avec un arc et une flèche (L. Passmore).
De bonnes âmes ont abondamment diffusé des images de carcasses d’éléphants de part le monde. Des millions ont été récoltés pour lutter contre le coupable désigné, le braconnage.
Sauf que ce ne sont pas les braconniers qui ont massacré des milliers d’éléphants (Peter Beard parle de 30000), mais la famine.
Dans leurs parcs, sans régulation naturelle, les éléphants se sont multipliés et ont détruit leur environnement. Sans rien à manger, ils sont tout simplement morts de faim. Et à l’autre bout de la planète, bien loin de la réalité africaine, chaque donateur, ou même ceux qui ont compati devant ces images et se sont insurgés contre les braconniers se sont enveloppés dans leur bonne conscience et ont dormi du sommeil du juste.
Un cliché pris en 1976 par Peter Beard à la frontière du parc de Tsavo. Le parc, ravagé par les éléphants est à gauche.
Dans la dernière partie, Beard fait un parallèle entre l’éléphant et l’être humain, entre l’Afrique des réserves et la planète.
La dérégulation de la démographie humaine soutenue par de bonnes intentions et des idéaux humanistes auxquels je souscris entièrement, j’y consacre une grande partie de ma vie, conduirait à une surexploitation de la terre et à l’extinction finale.
Ce livre est sombre, et pas seulement pour les amoureux de l’Afrique captivés par sa beauté; il sous-tend aussi des choses difficiles à accepter.
Et c’est pour cela qu’il faut le lire.
« Cette forêt dévastée
Que nous avons connue
Ne réclamera pas de châtiment ;
Les hommes qui l’ont détruite
Exécuteront sa vengeance. »
Un éléphant solitaire à Nakuru (L. Passmore)
Elephants à Tsavo (L. Passmore)
Crescent Island. Je fais un petit sourire crispé car je n'étais pas rassuré du tout. J'étais bien jeune à cette époque (2001), sniff...
15:14 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (3)
27/06/2008
Mort d’un patient.
Quel métier, quand même.
Il faut savoir accepter un taux de deuils bien plus élevé que les autres.Je viens d’apprendre le décès récent de ce patient, avec qui j’étais, en tout cas pour le laboratoire de biochimie du CHU, frère de sang.
Il n’avait que 66 ans.
Sale fin de semaine, vraiment.
19:08 Publié dans Des patients... | Lien permanent | Commentaires (2)
26/06/2008
La famille pathologique (suite).
Retournement de situation, l’épouse m’a proposé cet après-midi de devenir le cardiologue traitant de son mari.
J’étais surpris et content, et je n’ai même pas eu à décliner car mon cabinet s’avère être loin de chez eux et donc difficilement accessible au monsieur.
De toute façon, il est hors de question que je le suive.
Je sais de quoi elle est capable, et la conversation chaleureuse que j’ai eu avec elle cet après midi ne me cache pas les difficultés à suivre de façon sereine un tel couple.
Encore une fois, je finis par bien m’entendre avec les obsessionnels névrotiques ((BNP(-;)).
Le type de patient que je déteste : les je-m’en-foutistes geignards.
22:13 Publié dans Des patients... | Lien permanent | Commentaires (4)
Là où il y a de l’électrogène, il n’y a pas de plaisir.
La panne d’hier au soir à Saint Antoine, qualifiée de « rarissime » m’a rappelé quelques souvenirs pénibles.
Vous souvenez vous de la panne, rarissime elle aussi, qui a touché l’Hôpital Edouard Herriot (le « Grange Blanche » de mon cœur) le 26 septembre 1998 ?
J’étais interne aux soins intensifs cardiologiques dans un CHG à l’époque.
La direction, à la demande d’une circulaire ministérielle décida de vérifier la bonne marche des groupes électrogènes en cas de coupure de courant.
A l’heure prévue, le courant est coupé.
Et là, surprise, les groupes ne prennent pas le relais.
Petit moment d’inquiétude un peu rigolarde au début. Puis la tension monte subitement lorsque l’on se rend compte que la direction s’affole, et que le temps passe.
Nous avions alors trois ou quatre patients sous amines, dépendants, avec une des pousses seringues électriques ayant une autonomie limitée et imprévisible, étant donné leur âge. Heureusement, nous n’avions pas de patients ventilés…
Ca dure, ça dure, une sonnerie de fin d’autonomie retentit lugubrement au travers d’une atmosphère lourde et électrique.
La direction nous demande alors d’évacuer immédiatement nos patients les plus lourds en réa polyvalente, curieusement pas touchée par la panne (heureusement). Bien évidemment, la réa est à l’autre bout de l’hôpital…
On commence à pousser le premier lit hors de la salle lorsque le courant revient.
Ouf !
10:29 Publié dans Médecine | Lien permanent | Commentaires (7)
African scam, le retour (3).
Vous aimez les escroqueries de type « African scam » ?
J’en ai déjà parlé ici, ici et ici.
Celle-ci va vous faire voyager : Russie, Thaïlande, Londres, et à domicile pour peu que vous aidiez cette pauvre veuve à récupérer ses 4.5 millions de dollars américains.
On y trouve aussi du suspens, de sourdes menaces, de l’espionnage et donc une veuve en détresse.
« Bonjour,
Je vous écris avec beaucoup d'hésitation ses quelques lignes pour vous
décrire ma situation.
En espérant trouver compassion auprès de vous car cela s'impose à moi vue
la pénible et difficile condition de vie que je mène présentement. Mais
avant, je tiens à me présenter à vous.
Mon nom est madame Alesia Kalina, je suis de nationalité Russe et veuve.
Mon Epoux est décédé dans le désastre de Tsunami en Thaïlande. Je suis
héritière des biens de mon époux d'où la somme de 4.500.000 de dollars
américains. J'ai en ce moment quelques difficultés avec ma belle famille
qui veut mettre la main sur certains biens.
Ainsi ne sachant pas l'existence de cet argent, discrètement j'ai prise le
soin de mettre cet argent à l'abri de ses derniers. Je l'ai caché dans une
mallette métallique et déposé au sein d'une compagnie de Sécurité des
biens ici en Russie.
Cependant, n'étant plus en sécurité vis-à-vis des
investigations que menait ma belle famille, j'ai insistée auprès de la
compagnie de sécurité que ma mallette soit gardée avec un maximum.
La compagnie par des moyens diplomatiques a donc transférée ma mallette
hors de la Russie sur mon approbation à une compagnie de garderie de bien
en Angleterre (Londres). Mon époux faisait des affaires dans ce pays. Ce
dépôt a été fait et codé dans le cadre d'un arrangement secret selon
lequel ma mallette contient uniquement des biens de famille. Cela signifie
donc que la compagnie elle même ne connaît pas le contenu exact de la
mallette qui pour plus de sécurité a été envoyée en Angleterre (Londres)
sous une assurance diplomatique et déclarée comme contenant des biens de
famille.
Aussi, la raison principale pour laquelle je vous envoie ce courrier est
que, n'ayant pas confiance en ma belle famille ici en Russie.
Je me retrouve dans une impasse et je voudrais que vous m'aidiez discrètement à
effectuer le transfert de ma mallette dans votre pays.
Car j'envisage investir dans des domaines rentable. Avec votre accord, nous discuterons au préalable d'un pourcentage qui vous sera versé à la fin de la
transaction. En fait, depuis la mort de mon époux, les membres de ma
belle famille ont à plusieurs reprises tenté de porté atteinte à ma vie
pensant qu'a ma mort tous les documents légaux des bien que possédaient
mon mari leur reviendraient de plein droit.
De par leurs relations influentes, ils ont réussi à m'arracher toutes les
propriétés ainsi que tous ses biens matériels. Mais ils ne se sont pas
arrêtés la et m'ont obligée à leur révéler tous les comptes bancaires de
mon époux en menaçant à nouveau ma vie. Je leur est donc donner les
informations et ils ont confisqués tous les comptes bancaires. Je leur ai
tout révélé sauf l'existence de ce dépôt que j'ai fait au sein de la
compagnie de sécurité en Angleterre (Londres) car ceci représente tout mon
secret espoir caché.
Ma belle famille n'est donc pas informée de l'existence de ce dépôt que
j'ai fait au sein de la compagnie de sécurité et je ne souhaiterais pas
qu'elle ne le sache. Cependant, j'ai toujours peur des frères de mon mari
car ils continuent de m'espionner et vont jusqu'à écouter mes
conversations. C'est pourquoi j'ai décidée de chercher quelqu'un de
confiance hors de la Russie qui m'aidera à retirer la mallette de la
compagnie de sécurité et la placer discrètement dans un compte à
l'étranger pour un investissement futur.
Je vous demande de considérer ma situation qui est celle d'une veuve et de
venir à mon aide car aujourd'hui à part cet argent contenu dans la
mallette, je n'ai plus d'argent et ma situation financière est plus que
difficile (ma situation financière est à zéro).
Et ma demande d'aide est d'autant plus urgente que je paye 10 dollars par
jour à cette compagnie de sécurité comme frais de stockage et de sécurité
de ma mallette. Si vous désirez m'aider, je vous ferez parvenir dans mon
prochain émail, les coordonnées de la compagnie de sécurité afin que vous
les contactiez pour l'envoie immédiat de la mallette chez vous pour la
sécuriser.
Je vous remercie infiniment pour votre coopération et j'attends de vos
nouvelles pour la conclusion de cette affaire.
Mme. Alesia Kalina. »
Le passage que je préfère dans cette lettre ?
« En espérant trouver compassion auprès de vous car cela s'impose à moi vue
la pénible et difficile condition de vie que je mène présentement. »
« Présentement », voilà un adverbe que j’ai un peu de mal à imaginer dans la bouche d’une veuve russe. Vous ne trouvez pas ?
10:03 Publié dans Web | Lien permanent | Commentaires (3)
25/06/2008
La famille pathologique.
Et ce patient étant particulièrement grave, sa famille, son épouse en l’occurrence, est en passe de rentrer dans ma Panthéon personnel.
Elle est enseignante.
Je sais exactement ce à quoi pensent à l’instant précis tous les soignants qui me lisent.
Mais cela va au-delà.
Elle critique tout, vérifie tout (même si les infirmières ont bien tous leurs diplômes !), et attend avec une sorte de délectation morbide « la faute », pour nous tomber dessus, telle une Erinye.
Croyant savoir, et pouvoir tout contrôler, un peu comme dans une salle de classe, elle nous mène l’enfer. Mais encore une fois, je crois que cela va largement au-delà.
Son mari très dénutri par 3 semaines de réanimation se laisse aller. Il ne participe à rien, et après quelques progrès initiaux, stagne. A sa place, avec une épouse comme elle, j'aurais laché la rampe depuis bien longtemps. J'admire sa résistance.
Je crois qu’elle est désespérée de le voir comme cela et qu’elle cherche constamment l’affrontement pour s’épancher, libérer son désespoir et peut-être aussi se cristalliser sur un hypothétique responsable.
Je vais vous donner un exemple typique.
Son mari a des selles diarrhéiques environ toutes les 48 heures.
Je demande au gastro-entérologue de passer le voir.
Un examen et un TR plus tard, il pose le diagnostic de fausse diarrhée du constipé et propose un lavement.
Dans l’après-midi, l’épouse m’appelle et refuse d’emblée le lavement.
Je lui explique que le gastro-entérologue a du faire un TR et constaté une constipation. Elle me soutient que non, que son mari le lui aurait dit.
Bon, conciliant, je lui propose d’en reparler de vive voix.
Plus tard, elle m’attend avec son mari dans la chambre. Son mari lui a parlé du TR, et elle est un peu plus conciliante.
Finalement, après lui avoir dit qu’ils avaient toutes les cartes en main, elle accepte.
Après un petit conciliabule avec l’IDE et l’aide soignante, devant l’épouse, nous convenons de lui faire ce lavement le lendemain matin pour éviter tout accident nocturne.
Je vais m’occuper d’autres patients.
Je reviens, et finalement l’infirmière me dit qu’elle les a harcelées afin de faire le fameux lavement sur-le-champ. Elle a prétexté que son mari avait des douleurs abdominales, que les choses pouvaient se dégrader dans la nuit…
De guerre lasse, et étant donné la prochaine sortie, l’infirmière s’est exécutée.
Espérons que son pauvre époux n’ait pas de problèmes explosifs de tuyauterie en plein sommeil...
Elle ne lui rend pas service.
Les soignants des différents services où il est passé précédemment n’ont eu qu’une seule idée en tête peu après son admission, s’en débarrasser le plus rapidement possible. Tout cela n’est pas très favorable aux soins et à la consolidation…
Elle me fait de la peine, cette dame.
Je pense qu’elle bénéficierait d’une ferme mais courtoise explication en tête à tête.
Le patient grave et sa famille, même si elle est « grave » elle-même sont des victimes, et de ce fait jouissent de plus en plus d’une espèce d’immunité qui rend toute critique ou mise au point socialement et/ou commercialement (dans une structure privée) délicate.
Ainsi va le monde.
On est passé du règne de certains mandarins tout puissants et méprisants au règne de certaines familles et/ou patients qui ne sont pas moins pires que ces premiers.
L'esclave est un tyran dès qu'il le peut (Harriet Beecher Stowe).
Le proche d'un patient est un mandarin dès qu'il le peut (Lawrence Passmore)
23:04 Publié dans Des patients... | Lien permanent | Commentaires (7)
Le wiki des recommandations médicales, bilan à 3 mois.
Les points positifs sont :
- Une fréquentation qui me parait satisfaisante pour un wiki spécialisé : presque 1900 visites depuis 3 mois.
- L’absence de vandalisme
- Une certification HON
- Sa simplicité d'utilisation (en tout cas pour la recherche d'une référence précise)
Les points négatifs sont :
- Le faible nombre de contributions (seules 8 spécialités ont leurs recommandations), qui rend ce wiki peu attractif par rapport aux sources habituelles de recommandations.
- Une syntaxe qui rend peut-être difficile la création de recommandations pour un utilisateur peu averti.
- Un changement d’hébergement en cours de route, ce qui ne simplifie rien en matière de référencement.
Je me répète, mais n’hésitez pas à le compléter en rajoutant les recommandations qui vous semblent les plus pertinentes.
Si vous êtes allergiques à la syntaxe de MediaWiki, vous pouvez m’envoyer vos contributions sur ma boite personnelle, je me chargerai de les mettre en forme sur le wiki.
La bannière est toujours la même :
07:48 Publié dans Web | Lien permanent | Commentaires (0)
24/06/2008
Soirée Alanis Morissette.
Voici quelques uns de ses très nombreux succès:
21:55 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (3)