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17/11/2008

Pom pom pom pom.

Si je ne suis pas coupé au montage (je me suis trouvé nul, confus et filandreux), vous pourrez m’entendre sur France Inter ce jeudi 20/11/08 entre 10h et 11h dans l’émission « Service Public » avec Isabelle Giordano et Thomas Chauvineau.

Le sujet de l’émission est « Les nouvelles stratégies de l'industrie pharmaceutique ».

 

 

"Ici Londres. Les sanglots longs des violons de l'automne bercent mon cœur d'une langueur monotone..."

 

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La suite ici.

15/11/2008

Cadeau de Noel.

Pour être certain de ne pas être déçu, je me suis offert en avance un petit cadeau de Noel.

 

Les habitués de ce blog savent que j’aime énormément le travail de Martin Vidberg, que j’ai connu grâce à Guillaume (mes remerciements éternels !).

J’ai particulièrement aimé ce dessin.

Comme l’auteur le précise dans son blog, on peut commander des dessins originaux.

C’est que j’ai fait, et j'ai reçu cette petite merveille aujourd’hui:

 

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C’est une aquarelle de 24*27 cm, minutieuse et drôle, comme je les aime. J’ai trouvé un cadre alu noir et sobre pour la faire ressortir, et maintenant, elle trône sur mon bureau.

26/10/2008

Playmobil.

Evidemment, ce qui est super, quand on a des garçons, c’est de pouvoir rejouer aux jeux qui ont bercé son enfance.

Et cela, sans honte, ni réprobation.

Au contraire, « Regardez comme il s’occupe bien de ses enfants ! ».

Par contre, les petits m’ont fait prendre 20-25 ans en ressortant de je ne sais quelle malle aux trésors mes vieux Playmobil.

L’univers de ces petites figurines a toujours fait partie de mon Panthéon ludique.

Alors évidemment, j’en achète autant pour eux que pour moi.

J’aime particulièrement les romains qui sont sortis en cours d’année.

Mais revoir mes vieux Playmobil, ça m’a quand même fait quelque chose.

 

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Vous remarquerez les traces de dents sur les cheveux des deux miens, j'aimais bien leur changer de coiffure!

 

Déjà, la date du copyright sous leurs pieds : 1974 !

Ils étaient plus sommaires, monochromes, voire bi chromes avec leurs mains fixes et leurs pieds coulés dans la masse.

Si les figurines masculines ont peu évolué, les féminines ont bénéficié d’un sacré lifting : ablation du tablier abdominal et implants mammaires !

J'ai aussi retrouvé quelques chevaux et un Shériff, mais ça m’énerve, je n’arrive pas à remettre la main sur ma navette spatiale…

 

18/10/2008

Tierce amoureuse

Lui : pas ici, dans un endroit plus confortable.

Elle : non, on a juste le temps.

Capharnaüm d’enfants juste à côté.

Elle : viens

Lui : uhhmm

Lui : uhhhmm ?

Elle : Ah ! Commence pas à me stresser !

Lui, salaud : il sifflote l’air des bohémiens de la Traviata, entre deux éclats de rire étouffés.

Lui : uhhhmm ?

Elle, grognon: ggrrrrrrrr

Lui, hilare : tu fais la jeune, tu m’as dit d’y aller en pensant me rattraper !

Elle, renfrognée : et ben, si t’es si jeune, recommence !

Lui : tu le sais bien, jamais été capable !

Lui, grand seigneur : je te pardonne pour cette fois !

Elle, écarlate lui donne une tape du plat de la main.

Lui, petit seigneur : tu sais, quand tu m’as dit de venir, je n’aurais pas pu attendre bien longtemps en plus.

Elle revancharde et souriante : le temps de compter jusqu’à deux ?

 

 

 

 

 

 

Elle, 40 ans depuis 4 jours, lui 36.

Onze ans merveilleux et complices de vie commune.

01/10/2008

Histoire drôle (et optimiste).

 

A un cardiologue, la quarantaine, venu pour se former au doppler vasculaire, et à peine entré dans ma salle d’examen :

« Alors, comment trouvez vous notre 49ème Wilaya ? ».

Eclats de rire.

 

Nous en avons finalement conclu que les vieux fantômes s'estompent progressivement, jour après jour. Tant mieux.

28/09/2008

Les Buddenbrooks

Ce roman de Thomas Mann m’avait vraiment impressionné.

Il raconte la grandeur d’une famille de Lübeck qui atteint un sommet avec l’élection de Thomas au poste de sénateur, juste avant une chute brutale puisque Hanno, son fils, le dernier des Buddenbrooks, va mourir dans la misère.

Je n’ai pas encore lu « Le Guépard » de Giuseppe Tomasi di Lampedusa, mais j’en imagine les grandes lignes.

 

La famille de mon épouse a eu un peu la même trajectoire: grandeur et décadence vertigineuses.

Nous avons rencontré samedi des cousins adorables qui nous ont donné quelques clichés datant de la fin du XIXème et ont comblé quelques lacunes.

 

Tout un monde inimaginable et disparu s’est alors étalé devant nos yeux.

Un monde alors à deux doigts du précipice, mais qui n’en avait absolument aucune conscience. Un monde où une première communion en 1895 a déplacé rien moins qu’un Cardinal et deux Evêques. Mais aussi un monde où les premiers communiants n’apparaissent qu’à peine sur les photos de leur cérémonie, l'apparat social prenant le pas. Un monde, en effet, où les enfants devaient porter des corsets thoraciques avec mentonnière si ils ne se tenaient pas droits à table. Un monde, enfin où ces mêmes enfants étaient terrorisés devant la vitrine qui contenait la relique la plus réverée du Château: un pan de la chemise ensanglantée de Louis XVI.

 

Ce panorama m’a laissé sans voix.

Je vous le laisse découvrir:

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Incroyable cliché, non ? Le lion soutient des armoiries de la famille. (non datée).

 

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La procession de la première communion passe devant les fermiers endimanchés de Monsieur le Duc. (1895)

 

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Remarquez la mendiante en sabots, au pied des marches du Château. (1895)

 

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Agrandissement de la précédente.

 

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L'arrière grand père de mon épouse, le Duc, est assis à l'extrême gauche. La Duchesse est la seule femme assise (non datée)

 

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Le cardinal, au milieu, je présume. (non datée, peut-être 1895)

 

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Agrandissement de la précédente.

18/09/2008

Objets, avez-vous donc…

Une âme ?

 

 

Imaginez la scène.

Je suis à mon bureau et je tape tranquillement ma note sur les « post-it ».

D’un seul coup, j’entends une voix grave qui vient du devant de mon jean noir : « Lawrence, Lawrence ! ».

Je fais un bond. Mais comment connaît-il mon prénom ?

Après un petit moment d’inquiétude, je me rends compte que c’est mon portable, qui de la poche avant, et malgré le verrouillage, avait décidé d’appeler de son propre chef un copain.

 

Il faut que je diminue le café...

 

16/09/2008

Stress (3)

Stress Stress Stress Stress         .

 

 

C’était une histoire désagréable mêlant immobilier et déontologie, sans aucun rapport avec mon métier, ou mon activité sur internet.

 

J’ai obtenu l’anéantissement total de l’adversaire en rase campagne, comme à Cannes. Qui plus est,  sur un terrain dont je ne suis pas familier. Sauf que dans mon cas, c’est l'autre camp qui a commencé les hostilités.

 

Victoire superbe, très agréable pour l’ego, mais qui, comme à Cannes n’aura pas de lendemain. Nous avons convenu d’un arrangement à l’amiable qui n’efface pas le préjudice subi, mais je l’ai sacrifié, en partie,  de même que ma rancune sur l’autel du pardon et du bon sens. Par ailleurs, je ne frappe pas un adversaire à terre. Eux, l'auraient peut-être fait, mais je ne voulais pas m'abaisser à leur niveau.

 

"Les dieux - ce n'est pas étonnant - n'ont pas tout donné au même homme; tu sais vaincre, Hannibal; tu ne sais pas profiter de la victoire."

 

Enfin, dernière chose, notable: c’est grâce à internet que j’ai pu porter le coup décisif.

 

Merci pour vos encouragements, je les ai lus après, mais ils m'ont fait très plaisir.

 

 

(dernière remarque, je n'ai pas pris le melon, je ne me prends pas pour Hannibal, d'autant plus qu'il a particulièrement mal fini!)

 

 

 

 

Stress (2).

Souhaitez moi bonne chance. C’est ce matin, 9h30.

Stress Stress Stress Stress Stress Stress Stress Stress Stress Stress...

 

10/09/2008

Stress

Stress Stress Stress Stress Stress Stress Stress Stress Stress Stress Stress Stress

 

(et je ne peux même pas vous en parler)