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18/07/2007

Les pensées du Dr. House (6)

J’avais un petit différend avec un agrégé (les approximatifs avec l'orthographe, cliquez ici).

A la fin de ma vacation dans son service, j’ai écrit un rageur « Cocu » sur sa porte avec la bouteille de gel d’échographie.

J’ai pris soin d’écrire en lettres capitales pour rester anonyme.

 

 

 

 

(Episode rêvé, dont l’accusation n’est pas étayée. Que ceux qui me connaissent ne se mettent pas à rechercher dans quel service je fais mes vacations, ni à faire le tour des portes d'agrégés)

15/07/2007

C’est l’été !

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Tous les ingrédients y sont :

  • Il fait chaud.
  • Les premiers hectares de forêts sont offerts en autodafé aux deux déesses tutélaires de l’espèce humaine : la Bêtise ou l’Avidité.
  • Le mot canicule commence à faire peur.
  • Les gens sont dorés et le plus souvent souriants.
  • Les places ou se garer abondent en ville.
  • Les petits vieux commencent à y marcher la bouche ouverte.
  • Les blogeurs se plaignentde ne plus être lus (moi, si ;-)))
  • La maison est vide (femmes et enfants en vadrouille).

 

Il ne manque qu’une chose : un SMS de P. (Bon, la dernière fois, c’était cet hiver, mais il faisait chaud. C’était presque l’été).

 
Avant elle me contactait sitôt ma femme partie, mue par un instinct jamais pris en défaut jusqu’à présent.


  1. Prend-elle de l’âge ? (Comme moi)
  2. Est-ce que je pense trop à elle ? (Pas tant que ça, pourtant)
  3. Ou bien file-t-elle le parfait amour ? (Un des deux cas ou l’amour tue l’amitié)

 

J’ose à peine m’avouer que cette dernière éventualité m’attristerait (Mais bien moins que si elle était ma Miss Kenton).

12/07/2007

Contre sens.

Hier, en faisant un döppler des troncs supra aortiques, je devisais avec un patient.

Nous contrebalancions les progrès médicaux exponentiels faits en peu de temps et la détérioration croissante de l’hygiène de vie dans nos pays industrialisés qui a exactement l’effet inverse, celui de raccourcir et d’altérer la vie.

 

Nous avions la même phrase en tête : nous creusons notre tombe avec notre fourchette.

Et depuis quelques jours, je me délecte de cette note de ma psychiatre dyslipidémique préférée, qui, elle, contrairement à moi a eu le courage de se faire doser son cholestérol.

 

« Adieu, beurre, crème et chocolat... » conclut tristement Shayalone.

Il va falloir faire des efforts, en effet. Ca vaut pour tous, moi compris, donc (chocolat, chocolat…).

 

Si nous n’y prenons garde, dans chaque chaufferie de nos maisons abandonnées, nous allons trouver sur un mur, marquée en lettres tremblantes de mayonnaise l’accusation terrible :

« Homard m’a tuer ».